Le débat sur les nègres littéraires : Entre reconnaissance et ombre

Dans le domaine des lettres et des mots associés à la vivacité des contextes différents, le Prix PEPA a toujours accordé des milliers de connaissances pour éclairer et former cette génération d’experts en matière littéraire, où chaque goutte de connaissance acquise représente une contribution essentielle à la vie littéraire.

Les lecteurs avides ont dévoré avec vivacité ce sujet tabou qui consiste à reconnaître publiquement les nègres littéraires et leur contribution, ou à préserver l’image de l’auteur en les maintenant dans l’ombre. C’est la question pertinente qui a ouvert le rideau des discussions entre les débatteurs.

Tout d’abord, ils ont clairement défini l’orthographe clé, qui est le nègre littéraire. À partir de ces définitions, on comprend finalement que ce statut volontairement flou et ambigu a beaucoup évolué dans différentes fonctions et sa reconnaissance.

D’un côté, il est indéniablement crucial de reconnaître publiquement la contribution des auteurs. Ces voix étouffées méritent d’être entendues et reconnues. Selon certains intervenants, il est impératif de reconnaître la valeur des nègres littéraires et de célébrer leur contribution en tant qu’artistes complets et diversifiés. Plus qu’un fardeau ou une force de l’ombre, c’est un soutien, une force dans l’écriture qui porte un regard bienveillant mais aussi discret et respectueux. On les appelle également “Auteurs Fantômes”.

En effet, les Nègres littéraires ont cette habitude d’oxygéner nos esprits sans se mettre en avant. Prenons par exemple l’autobiographie de Malcolm X, la série des Frères Hardy, la série de Nancy Drew, la série Chair de poule ainsi que les romans James Bond, pour n’en citer que quelques-uns.

Cette séance de débat enflammée a été animée par la représentante de l’agence Au du comité, Mme Dawin Miclaïna MARCELIN, qui a également exprimé son point de vue sur ce sujet en question. Une dizaine de participants ont pris la parole tout en défendant les âmes sensibles qui ont aidé la littérature à dépasser l’ombre des fausses confidences, où la parole publique prenait forme généralement sous leurs doigts, tandis que l’écrivain oublié s’effaçait au profit de cette identité.

En somme, l’auteur fantôme est bien plus qu’un métier, car il assume les textes à sa propre voix. Selon Margaret Atwood, les nègres littéraires sont les invisibles qui insufflent la vie aux mots, ils sont les gardiens des secrets derrière les pages.

Dawin Miclaïna MARCELIN,
Représentante de PEPA au sein du comité du Prix PEPA 2024.