PEPA Education Agency

Sous l’éclairage érudit de Mme Darwin M. MARCELIN, les jeunes aspirants du prestigieux Prix PEPA 2024 se sont immergés dans une introspection sur la littérature contemporaine. Ce pan de la littérature contemporaine, souvent au cœur de controverses animées, s’interroge sur une question cruciale : s’est-elle égarée vers un divertissement superficiel, au détriment de la profondeur et de la réflexion ? Certains avancent que cette ère favorise une consommation littéraire aisée, tandis que d’autres défendent ardemment la richesse toujours présente dans les œuvres contemporaines.

(…) Mon délire ne s’arrêterait pas là. Je soutiendrais que tout homme né sur la terre d’Haïti possède automatiquement le don de l’écriture, le don de la peinture et le don de la musique, la bosse de la science, l’esprit de finesse et l’esprit de géométrie. (…)

Dans les coulisses du Prix PEPA, l’éducation prend une forme vivante et dynamique, s’éloignant des sentiers battus pour embrasser l’esprit du jeu. Au-delà des simples mots récités, les participants s’immergent dans un univers où chaque question est un défi, chaque réponse est une victoire, et chaque échange est une occasion d’apprentissage. Sous la direction éclairée de Madame Saphira Marcenat, le jeu éducatif devient un catalyseur pour l’épanouissement intellectuel, où la passion pour la connaissance se mêle à l’excitation du défi.

Au cœur de cette joute verbale, une question captivante émerge : comment concilier l’authenticité de la culture haïtienne avec les aspirations universelles de l’humanité ? C’est un défi que les auteurs haïtiens relèvent avec brio, jonglant entre les notes familières de leur propre histoire et les mélodies exotiques du monde extérieur.

Entre les pages physiques et virtuelles : Sujet de conférence d’ouverture de la deuxième phase du Prix PEPA 2024 La convergence entre le monde physique et virtuel redéfinit notre expérience de la lecture au XXIe siècle. Pour explorer les multiples facettes de cette transition et examiner les défis et les opportunités qui émergent alors que […]

Aujourd’hui, le monde célèbre la Journée Mondiale du Livre et du Droit d’Auteur, une journée dédiée à l’appréciation de la littérature, à la promotion de la lecture et à la protection des droits d’auteur. Chaque année, le 23 avril, cette journée offre une opportunité précieuse de mettre en lumière l’importance des livres dans nos vies et dans la société.

Les lecteurs avides ont dévoré avec vivacité ce sujet tabou qui consiste à reconnaître publiquement les nègres littéraires et leur contribution, ou à préserver l’image de l’auteur en les maintenant dans l’ombre. C’est la question pertinente qui a ouvert le rideau des discussions entre les débatteurs.

Dans le monde bouillonnant de l’édition, les jeunes auteurs se retrouvent souvent à la croisée des chemins, devant choisir entre l’auto-édition et l’édition traditionnelle. Ces dilemmes ont enflammé des débats passionnés, où la liberté créative et la reconnaissance ont été au cœur des discussions. Sous la houlette experte de Mme Dawin M. Marcelin, ces échanges ont illuminé les défis et les opportunités qui jalonnent le parcours des écrivains en devenir. Au fil de ces échanges enflammés, une vérité s’est imposée : chaque auteur, qu’il opte pour la tradition ou l’innovation, poursuit une quête personnelle pour faire entendre sa voix unique dans le vaste monde de la littérature.

La représentation du vodou dans la littérature haïtienne illustre un mouvement de réappropriation culturelle, où les écrivains mettent en lumière la complexité et la richesse spirituelle de cette tradition profondément enracinée dans l’histoire et l’identité d’Haïti. À travers une exploration authentique, le vodou devient une source de résilience et de force, démystifié et célébré par des auteurs tels qu’Edwidge Danticat et Jacques Roumain.

Dans les recoins mystérieux de la littérature ancienne, nous avons rencontré les premières incarnations de la femme, souvent enfermées dans des rôles stéréotypés de mère, de muse ou de sorcière. Mais au milieu de ces archétypes figés, des figures telles que Médée ou Antigone ont émergé, défiant les attentes et clamant leur droit à une voix unique.