La conférence sur “La Mentalité du Champion” organisée par le PRIX PEPA 2024 a inspiré les finalistes à cultiver l’excellence et à surmonter les défis. Mme Dawin Miclaïna Marcelin a souligné l’importance de fixer des objectifs clairs, de se concentrer et d’adopter des habitudes rigoureuses pour atteindre la réussite.
Chaque année, le 18 mai, Haïti célèbre son drapeau, symbole d’unité et de résilience. Dans un contexte socio-économique et politique difficile, cette journée rappelle l’importance de l’identité nationale et l’héritage de la révolution haïtienne.
Dans de nombreux secteurs professionnels, il est courant de voir des offres d’emploi exiger un minimum de cinq ans d’expérience, même pour des candidats jeunes âgés de 22 ans. Cette pratique, bien que visant à garantir la compétence des employés, peut représenter une barrière significative pour les jeunes sur le marché du travail, en particulier en Haïti…
Le samedi 25 mai 2024, Wadline Dassas, ambassadrice de PEPA Education Agency, a animé une conférence sur “Comment tenir l’élan de sa créativité et de son positivisme dans une période de crise tout en vivant dans une zone à haut risque.” Elle a souligné l’importance de la planification, de la résilience, de la confiance en soi et de la clarté pour surmonter les défis, en encourageant les jeunes à voir les crises comme des opportunités pour exceller.
Le vendredi 24 mai 2024, le département de formation de PEPA a organisé un débat sur le thème : “C’est une action douteuse que d’exempter un coupable de sa peine à cause d’une prétendue maladie mentale.” L’équipe POUR, représentée par Anne Woodnaëlle DÉLICE et Alberte Romélus, a souligné la responsabilité individuelle et la protection de la société. L’équipe CONTRE, avec Wood Jude JEAN et Kethlène ALTIDOR, a plaidé pour une justice équitable et compatissante envers les personnes souffrant de troubles mentaux.
Lors des discussions du mercredi 22 mai, les finalistes du PRIX PEPA 2024 ont examiné les avantages et les risques des technologies numériques. Ils ont souligné l’accès rapide à l’information et les possibilités de connexion mondiale, tout en mettant en garde contre l’exploitation des données personnelles et les cybermenaces. Ils ont conclu qu’un équilibre entre ces avantages et les risques est essentiel pour protéger la vie privée et la sécurité des utilisateurs dans un monde connecté.
Lors des discussions tenues le vendredi 24 mai 2024 dans le cadre du PRIX PEPA, les finalistes ont abordé la possibilité pour un enfant adoptif d’épouser une fille de sa famille. Ils ont examiné cette question sous les angles légal, moral et éthique, révélant des divergences selon les juridictions et les normes culturelles. En Haïti, il est essentiel de considérer les implications familiales et sociales, tandis que des pays comme les Pays-Bas, la Belgique et la France permettent de tels mariages, sous certaines conditions. Jean François Chalet a conclu en rappelant que l’amour d’un enfant adopté est un amour né du cœur, et non du sang.
Jacques Roumain, né le 4 juin 1907 en Haïti, incarna à lui seul un formidable mélange d’intellectuel engagé et d’écrivain prolifique. Son parcours académique débuta avec des études en agronomie, mais ce fut dans les méandres de la littérature et de la lutte politique qu’il trouva sa véritable vocation. Son engagement sans faille envers les idéaux communistes le distingua rapidement, devenant ainsi le premier Noir à fonder un parti communiste dans l’histoire du monde. Malgré les pressions politiques et les périodes d’exil, son esprit indomptable continua de défendre ses convictions avec vigueur.
Dans un élan de solidarité et d’engagement, les finalistes du Prix PEPA 2024 ont abordé avec détermination le défi de la précarité des enfants des rues en Haïti. Sous la direction éclairée de Dawin Miclaïna MARCELIN, représentante de PEPA au sein du comité, des solutions concrètes ont émergé pour offrir un avenir plus juste à ces enfants vulnérables.
Le dilemme éthique de l’euthanasie reste un sujet de débat complexe et émouvant. D’un côté, certains défendent le principe sacré du droit à la vie, soulignant qu’aucun individu ne devrait avoir le pouvoir de mettre fin à celle d’autrui, même dans des situations de grande souffrance. De l’autre côté, les partisans de l’euthanasie avancent que dans des cas de maladies graves et incurables, elle peut offrir une fin de vie plus digne et moins douloureuse.
