Et si notre vie était un musée de souvenirs
Osons lire dix pages avec Ambassadrice Chasta DOUCHARD
“Si 80 % de notre temps est consacré à un emploi que nous n’aimons pas, alors 80 % du musée sera dédié à nous montrer malheureux et passant la majeure partie de notre temps à faire une activité qui nous déplaît. Il y aura des photos, des explications et même de petits moniteurs vidéo sur lesquels les visiteurs du musée pourront observer des scènes de différents moments malheureux.”
En plein milieu d’un long séjour de quatre mois en Espagne, on téléphona à John Strelecky (dit Joe) pour lui informer l’état critique de la santé de son ami Thomas, celui qu’il considère comme étant le plus grand leader du monde. Secoué par cette nouvelle inattendue, il chercha rapidement à joindre la compagnie d’aviation pour rentrer sans tarder aux États-Unis, là où se trouvait son ami malade. Quoique bouleversé tout au long du voyage, cela ne l’empêcha pas de lier connaissance avec une jeune femme du siège voisin, du nom de Sonia.
Cette dernière avait engagé la conversation parce que la nervosité qu’affichait son voisin la préoccupait. Et c’est ainsi que Joe profita de l’occasion pour parler de l’influence remarquable d’un leader dont on n’a jamais parlé auparavant et aussi pour lui apprendre ce que Thomas avait appris à beaucoup de gens durant son existence.
John Strelecky est un auteur et écrivain américain qui s’impose dans la quête de liberté en inspirant et en motivant ses lecteurs à vivre la vie qui leur convient vraiment. Avec son titre “Les 5 grands rêves de vie”, publié en 2011, Joe nous raconte l’histoire de Thomas Derale, l’homme qu’il considère et que beaucoup ont considéré comme “le plus grand leader du monde.”
Ces dix pages de l’histoire ont été sélectionnées dans le but de vous amener à visionner votre vie plus positivement. Sur ce, Ambassadrice Chasta DOUCHARD vous souhaite une bonne lecture!
Osons Lire Dix Pages.
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” […] Ma journée avait débuté à 5 h 40 par la sonnerie de mon réveil-matin annonçant une nouvelle journée de plaisir. En fait, pas vraiment de plaisir, mais plutôt de travail. Frileux, je m’étais hâté jusqu’à la douche et j’étais resté un moment sous l’eau chaude en rêvant que par un tour de magie quelconque, nous serions soudainement samedi, et non pas lundi. Ça m’était arrivé déjà lorsque j’étais enfant. Je m’étais levé, douché, habillé puis j’étais descendu dans la cuisine pour découvrir soudainement que nous étions la fin de semaine et que je n’avais pas à aller à l’école.
Mais, cette fois, je n’avais pas eu ce bonheur. Après un bol de céréales et un café, j’avais revêtu un complet bleu foncé, une chemise bleu pâle et une cravate flamboyante. Puis, j’étais sorti. Après une marche de dix minutes sur l’avenue Armitage, j’attendais le train à l’extérieur de la gare. C’est à ce moment que Thomas m’a regardé, m’a salué d’un signe de tête et m’a demandé : “N’est-ce pas une matinée d’une belle journée de musée?”
Effectivement, cette journée se révéla être une belle journée de musée, mais à ce moment-là, je n’avais aucune idée de ce que ça signifiait. Ce fut une belle journée de musée parce que ce jour-là, je fis la connaissance de Thomas. Lorsqu’il m’avait posé cette question, j’avais été incapable d’une quelconque cohérence dans ma réponse. Enfin, c’est ce dont je me souviens. La plupart des étrangers n’engagent pas la conversation entre eux en attendant le train à l’extérieur des stations de train, particulièrement lorsque la température est sous 0 °C.
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Thomas m’avait donc surpris, tant par son action d’engager la conversation que par sa question. Je crois que je lui avais simplement répondu quelque chose d’intelligent comme “euh…” et que je lui avais souri comme on le fait aux gens qui vous adressent la parole sans que vous compreniez réellement ce qu’ils veulent vous dire. Lorsque le train était arrivé, nous avions tous les deux pris place, mais chacun d’un côté du wagon de sorte que notre conversation s’était interrompue sur mon profond “euh…”.
Mais, j’avais pensé à Thomas toute la journée et principalement à sa question. Il portait un long manteau de laine noire, des gants, mais pas de chapeau. Ses cheveux étaient courts. Cela lui donnait une allure professionnelle. Il avait du charisme. Vous savez, il était le genre de personne qui commandait le respect et prenait le contrôle d’une pièce dès qu’il y pénétrait. Oh oui! Thomas était ce genre de personne, même à 6 h 47 du matin sur le quai d’une gare de train bondée d’étrangers au milieu de l’hiver à Chicago. »
Sonia m’a regardé. Puis, elle m’a demandé si j’avais revu Thomas par la suite. ” Eh bien, dis-je, j’ai vainement essayé de le croiser de nouveau chaque matin du reste de la semaine. Sa question n’avait pas cessé de me tourmenter. Qu’avait-il voulu dire par “une matinée d’une belle journée de musée”? Cependant, il semble qu’il n’ait pas repris le train cette semaine-là.
Après une fin de semaine tumultueuse marquée par deux fêtes, plusieurs martinis et une terrible gueule de bois toute la journée de dimanche, disons que j’avais relégué aux oubliettes la question de Thomas. Toutefois, le lundi matin, sur le quai de la gare de train, je l’ai vu de nouveau. Il se tenait tel un phare parmi la foule. Il n’était pas vêtu différemment des autres et sa mallette aurait pu être celle de n’importe qui. Rien de cela ne le démarquait. Non, c’était autre chose, une présence, un charisme.
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J’ai marché jusqu’à lui et lui ai tendu la main : “Bonjour! Je suis Joe.” Il serra ma main.
“Bonjour Joe. Je m’appelle Thomas.
– Thomas, peut-être allez-vous me trouver bizarre, mais la semaine dernière, lundi dernier précisément, m’avez-vous posé une question au sujet d’un musée?”
Il a souri. “Effectivement, Joe. Je vous ai demandé si c’était une matinée d’une belle journée de musée.”
J’ai acquiescé d’un signe de tête. “Je dois vous avouer que, tout en ne sachant pas ce que vous vouliez dire, votre question m’a trotté dans la tête toute la semaine. Disons au moins cinq des sept jours de la semaine. Les martinis ont pris la place par la suite. Que voulait dire une matinée d’une belle journée de musée?”
Thomas sourit de nouveau. “Mon explication vous semblera plutôt inhabituelle, Joe. Êtes-vous sûr de vouloir encore le savoir?
– Oui, je le suis”, ai-je répondu alors que le train s’immobilisait et que les portes s’ouvraient. »
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J’ai jeté un coup d’œil à Sonia.
« Je ne sais pas pour quelle raison, mais j’étais vraiment intéressé. Tout cela me semblait étrange. Chaque jour, au travail ou dans ma vie sociale, je rencontre des gens et je discute avec eux. Cependant, la plupart du temps, aucune de ces conversations ne m’intéresse vraiment, même que je feins le contraire. Par contre, cette fois-ci, j’étais vraiment intéressé.
L’une des raisons pour lesquelles je m’efforce de toujours prendre le train de 7 h, est qu’il est habituellement moins rempli que le suivant. Je trouve que la journée a tendance à mal commencer lorsqu’on la débute par un trajet de trente minutes dans un wagon de train bondé de parfaits étrangers. Ce matin-là, il y avait même moins de gens qu’habituellement dans le train de 7 h de sorte que Thomas et moi avions eu des sièges l’un à côté de l’autre. Il avait commencé la conversation par une question.
“Joe, savez-vous quelle est la durée moyenne de la vie des gens?
– Euh… je ne le sais trop, soixante-dix, quatre-vingts ans peut-être? avais-je répondu dans un haussement d’épaules.
– Vous n’êtes pas loin. En moyenne, l’être humain qui demeure aux États-Unis vit environ 28 200 jours, ou environ 75 ans si vous préférez. Évidemment, parfois, ce sera un peu plus, parfois, un peu moins, mais statistiquement, c’est environ 28 200 jours.”
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Sa réponse m’avait surpris. “Je n’ai jamais pensé à la durée de vie en jours auparavant. Pour je ne sais quelle raison, ça semble plus court en jours qu’en années.
– Effectivement. Ça rend la durée de vie plus réelle.
– D’accord, la durée de vie moyenne est donc de 28 200 jours. Cependant, qu’est-ce que cela a à voir avec une matinée d’une journée de musée?
– Joe, avez-vous déjà visité un musée d’histoire? Avez-vous déjà arpenté des salles ornées de vieilles photos de personnes? Des photos de gens au travail ou en uniforme militaire, des photos de famille ou d’amis?
– Bien sûr, avais-je répondu.
– Eh bien, un jour, j’étais à Orlando, en Floride, pour assister à une conférence. Pour passer le temps, j’ai flâné dans la ville et je suis tombé sur un petit musée appelé ‘Winter Garden’. Le musée ne devait pas faire plus de 400 m2, mais il était rempli de photos de personnes ayant marqué l’histoire de la ville. En fait, le musée était consacré à ces gens, à ce qu’ils avaient accompli et aux événements qui avaient jalonné l’histoire de la ville au cours des 150 dernières années. En arpentant les salles du musée, ça m’a frappé. Et si chacune des journées de notre vie était cataloguée, ce que nous ressentons, les gens que nous croisons, ce que nous faisons de notre temps. Et si, à la fin de notre vie, un musée était érigé pour y exposer ce que nous faisons de notre vie.”
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J’avais alors regardé Thomas, un peu confus. “Joe, imaginez les choses de la façon suivante. Si 80 % de notre temps est consacré à un emploi que nous n’aimons pas, alors 80 % du musée sera dédié à nous montrer malheureux et passant la majeure partie de notre temps à faire une activité qui nous déplaît. Il y aura des photos, des explications et même de petits moniteurs vidéo sur lesquels les visiteurs du musée pourront observer des scènes de différents moments malheureux. Si nous nous montrons amicaux envers 90 % des gens avec lesquels nous avons des liens, le musée en rendra compte. Cependant, si nous sommes colériques, de mauvais poil ou si nous vociférons des mots durs envers 90 % de ces gens, le musée en rendra compte de la même façon. Et tout cela sera documenté par des photos ou des vidéos, ne l’oubliez pas.
Si nous aimons le plein air ou si nous aimons passer du temps avec nos enfants ou nos amis ou célébrer la vie avec l’être cher, mais que nous n’accordons finalement que 2 % de notre temps à ces activités que nous adorons, alors seulement 2 % de notre musée y sera consacré. Peut-être n’y retrouverons-nous que quelques photos suspendues à un mur au fond d’un corridor.
Imaginez, Joe, ce que ce sera de visiter notre musée à la fin de notre vie. Toutes ces photos, toutes ces vidéos, toutes ces séquences audio… Comment nous sentirons-nous? Que ressentirons-nous de savoir que pour l’éternité, ce musée représentera les souvenirs que les gens garderont de nous? Chaque personne qui le visitera nous connaîtra exactement comme nous sommes vraiment. Notre héritage sera basé non pas sur ce que nous rêvons de vivre, mais sur ce que nous vivons réellement.
Imaginez que le paradis, ou l’après-vie, peu importe ce que vous pensez qu’il puisse arriver après la mort, est en fait vous-même en tant que guide éternel pour les visiteurs de votre propre musée!”
Il fit une pause, mais reprit sans tarder. “Voilà pourquoi je vous ai demandé si c’était une matinée d’une belle journée de musée.” »
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«Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre lorsque j’ai demandé à Thomas de s’expliquer au sujet du sens de sa question, mais croyez-moi, il m’a vraiment surpris », ai-je dit en regardant Sonia.
Elle avait l’air étonnée elle aussi. « C’est un concept surprenant, c’est le moins que l’on puisse dire. Wow! Quelle façon de considérer sa vie sous une perspective différente! Et que lui avez-vous répondu?
– Oh, je crois que je lui ai répondu quelque chose de brillant et de percutant du genre “euh…” »
Sonia éclata de rire.
« Non, sans blague?
– Oui, c’est ce que je me rappelle lui avoir répondu. Reportez-vous dans le contexte : cet homme était un parfait inconnu. Puis, je me suis demandé : Qui peut bien poser une telle question à un étranger et entamer ensuite une telle discussion?
– Et alors, qu’avez-vous fait?
– Je lui ai posé la question directement.
– Et?
– Il m’a regardé droit dans les yeux et il m’a dit : “Moi.” Connaissant bien Thomas maintenant, sa façon de faire n’avait rien d’étonnant. Il n’a jamais craint d’entamer des conversations que la plupart des gens éviteraient. Pour lui, 28 200 jours de vie, c’est trop court pour perdre son temps à bavarder inutilement. Cela dit, à l’époque où je l’ai connu, j’étais stupéfait.
– Que s’est-il passé ensuite?
– Je me suis ressaisi suffisamment pour oser lui demander pourquoi il posait aux gens la question au sujet du musée. Il m’a répondu qu’il aimait faire la connaissance de gens intéressants et que la question du musée s’avérait souvent une bonne entrée en matière. Je lui ai alors demandé s’il la posait à chaque personne qu’il rencontrait. Il m’a répondu que non, il ne le faisait pas systématiquement. Même qu’il le faisait plutôt rarement. Il disait se fier à son instinct. Cependant, ce fut son commentaire suivant qui scella notre amitié.
– Quel était ce commentaire?
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– Je lui avais demandé s’il me trouvait intéressant puisqu’il m’avait posé la question. Il m’avait souri et répondu : “Je commence à douter de mes instincts.” Il avait dit cela d’un air si impassible que je m’étais demandé s’il était vraiment sérieux. Puis, il avait éclaté de rire, j’avais éclaté de rire à mon tour, et une grande amitié était née. »
Sonia sourit. « Vous a-t-il dit un jour pourquoi il vous avait choisi pour la question du musée? »
J’ai acquiescé d’un signe de tête. « Des années plus tard, je lui avais demandé de nouveau. Il m’avait confié avoir décelé en moi ce qu’il avait vu chez bien d’autres personnes et qu’il avait l’habitude de voir en lui-même chaque matin lorsqu’il était plus jeune : un formidable espoir et un formidable potentiel ensevelis sous un désespoir silencieux. »
Sonia était saisie d’admiration.
« Wow! Cet homme semble vraiment être quelqu’un d’unique.
– Il l’est! Je n’exagérais pas lorsque je vous disais que je le considère comme le plus grand leader du monde.
– J’ai cru comprendre qu’il est votre ami, mais votre description s’apparente plus à celle d’un patron. Travaillez-vous pour lui?
– Non, et c’est l’une des choses qui fait de Thomas le grand leader qu’il est. Chaque personne de ses compagnies connaît la trajectoire et le but de la compagnie qui l’emploie, et chacune fait partie de cette aventure en communion avec les autres personnes. Vous ne travaillez pas pour Thomas, vous travaillez avec lui!
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– Sérieusement?
– Sérieusement. Il a créé une culture d’entreprise à laquelle vous adhérez ou non. Si vous y adhérez, vous faites partie de l’aventure. Les gens ont des rôles différents pour lesquels ils sont rémunérés différemment, mais vous ne retrouvez pas le fossé traditionnel entre patrons et subordonnés. Vous êtes dans le coup ou vous ne suivez pas.
– Et ça fonctionne?
– Ça fonctionne dans ses compagnies en tout cas. Il a fait beaucoup d’argent avec elles, tout comme les gens qui travaillent avec lui. »
Sonia leva les sourcils en guise de surprise. « Hum, d’accord, je vois. Toutefois, pour en revenir à ma question, puisque vous ne travaillez pas pour lui, travaillez-vous avec lui alors?
– Oui, quelques fois par année. J’ai un horaire très flexible. Et pour tout vous dire, travailler avec Thomas n’est pas réellement travailler.
– Pardon? Vous ne travaillez pas? Pas étonnant que les gens le considèrent comme un si grand leader.– Non, ce n’est pas tout à fait cela.
– Mais, vous venez de dire…
– Je sais. Ça semble complexe, mais en vérité, c’est plutôt simple. C’est une autre raison pour laquelle Thomas est un si grand leader. Il simplifie le leadership. »
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[…] J’ai fouillé dans la pochette derrière le siège devant moi et en ai retiré mon iPhone.
“C’est quelque chose que Thomas a créé il y a longtemps et que nous avons adapté à la technologie moderne.”
J’ai recherché le fichier que je désirais, puis j’ai tendu les écouteurs du iPod à Sonia.
“Qu’est-ce que vous me faites écouter? demanda-t-elle en plaçant les écouteurs sur ses oreilles.
– En réalité, vous allez visionner un fichier sur Thomas. Lorsqu’il a créé sa première compagnie, il avait rédigé sa philosophie sur le leadership et il avait créé une organisation à succès. Avec les années, ce texte a été transposé en audio puis en vidéo.
– Bien.”
J’ai souri. “Attendez de voir la vidéo.”
J’ai activé le iPhone et en quelques secondes l’image de Thomas apparut sur le petit écran. Il souriait. Même si Sonia portait des écouteurs, lorsque Thomas se mit à parler, je pus entendre le son de sa voix : « Bonjour à chacun de vous. Je suis Thomas Derale. Je suis touché que vous preniez quelques instants de votre vie pour visionner cette vidéo. J’espère que ce que je vais partager avec vous sera une source d’inspiration au même titre que ce le fut pour moi lorsque j’en ai pris conscience, il y a plusieurs années déjà.
Avant de démarrer ma première compagnie, j’ai beaucoup réfléchi à ma philosophie d’entreprise et au genre de leader que je souhaitais être. J’ai aussi longtemps pensé à la façon dont je pourrais synthétiser ma conception du leadership afin que je puisse facilement l’expliquer aux autres et qu’eux-mêmes puissent tout aussi facilement la comprendre.
Un soir, alors que j’étais assis à mon bureau, à la maison, et que je fixais les photos qui ornaient les murs, ça m’a sauté aux yeux. Depuis mon enfance, j’avais été un voyageur. Tout jeune, je raffolais d’enfourcher ma bicyclette et de rouler jusqu’à des lieux que je n’avais jamais vus. Je parcourais les boisés de mon quartier et j’explorais des sentiers et des clairières. Je ne m’étais jamais demandé pourquoi je faisais tout cela. Ça me plaisait et je le faisais aussi souvent que possible.
En grandissant, j’ai rêvé de visiter le monde. Après avoir étouffé ce rêve pendant quelque temps, je l’ai finalement laissé éclore et depuis j’ai visité plusieurs endroits autour du globe.
Ce jour-là, lorsque je regardais les photos au mur – des photos de ma femme et moi à différents endroits dans le monde – et que je repensais à mes aventures d’enfance, j’ai réalisé que j’avais toujours considéré la vie comme un voyage. Que nous le voulions ou non, du jour de notre naissance au jour de notre mort, notre vie se dirige sans cesse quelque part et nous sommes constamment en train de faire quelque chose […]»
Chasta DOUCHARD | Ambassadrice de PEPA Education Agency